Nommer les parties intimes, c'est protéger les enfants
Pour Charline Vermont, la formatrice en santé sexuelle derrière le compte Instagram @orgasme_et_moi, « on ne peut protéger que ce qu’on peut nommer ». Avoir les bons mots permet de décrire précisément les violences qu’on a vécues, mais aussi d’avoir une conscience de son corps et de son importance. « Les pédocriminels utilisent beaucoup les termes “zézettes”, “minettes”, ajoute Anna Roy, parce que c’est mignon, pas sérieux. On peut toucher une zézette, alors qu’une vulve, non ! »
Pour éviter qu
Pour éviter qu